La gueule de bois du lendemain est aussi dangereuse que l’ivresse de la veille selon Educ’alcool

La gueule de bois touche presque tout le monde au-delà de cinq verres

La gueule de bois est une sensation inconfortable qui se manifeste à la suite d’une consommation excessive de boisson alcoolisée. Elle apparaît 6 à 8 heures après la consommation d’alcool, lorsque l’alcoolémie diminue, et elle atteint un maximum lorsque l’alcoolémie redevient nulle. La gueule de bois peut apparaitre dès la consommation d’un verre, et touche presque tout le monde au-delà de cinq verres.

L’origine de la gueule de bois n’a pas encore été complètement élucidée. Il est reconnu que c’est un trouble complexe et pluri-factoriel. Trois substances seraient à l’origine de la gueule de bois : l’éthanol (ou alcool pur), l’acétaldéhyde (produit du métabolisme de l’éthanol) et les congénères, qui sont des substances présentes dans les boissons alcoolisées, issues de la fermentation alcoolique ou ajoutées pendant le processus de fabrication. (source wikipedia)

La gueule de bois du lendemain est aussi dangereuse que l’ivresse de la veille

« Même après avoir dormi, même après que le corps ait métabolisé tout l’alcool consommé, même avec un taux d’alcoolémie revenu à zéro, la consommation abusive a des effets étendus et l’on peut fort bien ne plus être en possession de ses moyens pendant 24 heures après la fin d’une cuite. » Telle est la principale conclusion de la toute dernière publication de la collection Alcool et santé d’Éduc’alcool consacrée aux « lendemains de veille » que l’organisme a rendue publique ces jours-ci : « après une consommation excessive, les malaises apparaissent quand la concentration d’alcool dans le sang amorce sa descente et ils sont à leur point culminant quand elle est redescendue à zéro », précise le directeur général d’Éduc’alcool, Hubert Sacy.

Le philosophe

Le photographe Alain Reynaud adore prendre des gueules de bois…

Avec ces monstres des vignes, Alain Reynaud a prouvé qu’on pouvait prendre des gueules de bois tout en restant parfaitement sobre ! En effet, le photographe s’est fait connaître en particulier avec son travail sur les ceps de vigne dans la région du Languedoc. Ces monstres des vignes ne sont pas le fruit de son imagination, ils existent vraiment cachés dans les ceps de vigne : « qui suis-je ? Une histoire à dormir debout… A dormir debout, ou plutôt à s’allonger dans les vignes pour prendre le temps de vivre, un hymne à la rêverie enfantine en quelque sorte. Ne vous méprenez pas, les monstres sont là, partout autour de nous. Des monstres qui ne sont pas sortis de mon imagination, des monstres bien réels. Je n’ai pas forcément dit vivants, quoique…! Mais réels, ça je peux vous l’affirmer ! Ils se cachent, nous observent, nous fuient, ils vivent une autre vie, à l’écart, et pourtant… Ouvrez grand vos yeux !!! »

Commentaires

  1. Charmant ce papier qui joint l’utile à l’agréable.
    Informer en souriant et sans faire la morale est rare.
    Et le clin d’oeil à la « gueule de bois » photographique, savoureux.

  2. Merci pour ce chouette article :-)

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