Les cougars sont de retour en ville et elle ont très soif de vin ! Cougar Town revient pour une saison 4 sur TBS

Cougar Town, une série américaine qui donne soif

Alors que les fans de la série s’étaient fait à l’idée de l’arrêt de la série cette année sur ABC, la chaine TBS vient d’annoncer qu’elle allait produire quinze nouveaux épisodes pour ses prime time. On va donc retrouver dès le 8 janvier 2013 les déboires de Jules Cobb, âgée de 40 ans, jouée par Courteney Cox. Elle interprète le rôle d’un agent immobilier fraîchement divorcé vivant avec son fils, Travis âgé de 17 ans,  dans la ville de Gulfhaven en Floride surnommée « Cougar Town » (l’équipe de football américain du lycée se nomment les « Cougars »). Essayant de faire face aux problèmes du quotidien, elle décide de se remettre à la « chasse aux hommes » avec l’aide de ses meilleures amies : Ellie, jeune mère de famille mariée dans la quarantaine également, et Laurie, sa jeune employée écervelée de 28 ans…( source Wikipédia)

Les filles boivent du vin à la paille pendant que les garçons trinquent à la bière

Une des raisons du succès outre Atlantique de Cougar Town, qui mélange humour et romance, c’est la place essentielle que joue le vin dans la série. Les actrices ont très souvent un très grand verre de vin à la main et on peut même acheter en ligne « Big Joe », le verre XXL de l’actrice principale, Courteney Cox, qu’elle sort pour les grandes occasions. Il est fréquent de voir les personnages s’envoyer dès le matin de bonnes rasades de vin ou même de boire à la paille…

Le French paradox appliqué à la télévision française

Bien sûr avec la loi Evin et le CSA qui veille, impossible d’imaginer un seul instant voir Cougar Town sur une chaine de télévision française et pourtant…Alors que les interprofessions viticoles de France rivalisent d’imagination pour essayer de  parler du vin sans le montrer dans leurs campagnes de promotion, NRJ12 a diffusé sans aucun problème la saison 2 de Cougar Town cette année. Encore un paradoxe bien français…

Maj 19/09 : à lire l’article de Sandrine Goeyvaerts, « Le féminisme est-il soluble dans le pinard ? »

« d’une ça ne me fait pas rire, de deux ça me fait honte. D’être assimilée à des poulettes glougloutantes et superficielles, pour qui l’esthétique d’un BIB prime sur le goût que peut avoir le pinard. »

 

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